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Difficultés d’endormissement et/ou des réveils nocturnes fréquents, un réveil trop précoce et/ou un rythme veille/sommeil anarchique. 

Décalage de rythme circadien veille/sommeil particulièrement fréquent chez l’adolescent*, se manifestant par : Un endormissement très tardif le soir, généralement plus de 2h après l’horaire conventionnel ou souhaité. Un réveil spontané également très tardif en fin de matinée voire début d’après-midi si la personne n’est pas soumise à une contrainte horaire

Décalage de rythme circadien veille/sommeil se manifestant par : Un endormissement très tardif le soir, généralement plus de 2h après l’horaire conventionnel ou souhaité. Un réveil spontané également très tardif en fin de matinée voire début d’après-midi si l’enfant n’est pas soumis à une contrainte horaire. Le sommeil est de bonne qualité et de durée normale en l’absence de contraintes.

Rêve très désagréable survenant en général en fin de nuit, durant le sommeil paradoxal et occasionnant un réveil.

Épisode de réveil incomplet, survenant en phase de sommeil lent profond 

Mouvements rythmiques répétés et stéréotypés, le plus souvent de la tête et/ou des membres qui surviennent à l’endormissement et/ou durant le sommeil.

Réduction anatomique ou fonctionnelle du calibre des voies aériennes supérieure durant le sommeil provoquant une gêne (hypopnée) voir un arrêt complet de la respiration pendant quelques instants (apnée). Cela engendre un défaut d’oxygénation et une hypercapnie temporaire qui peuvent favoriser les micro-éveils, et perturber la structure du sommeil, donc la récupération

Grincements des dents durant le sommeil ayant des répercussions cliniques (usure des dents, céphalées, douleurs mandibulaires…).

Pleurs = moyen d’expression et de communication du nouveau-né. Ils ne caractérisent pas toujours un besoin insatisfait.  La durée moyenne des pleurs physiologiques du nouveau-né est de 2h par jour. Au-delà de 3h de pleurs par jour, plus de 3 jours par semaine, pendant plus de 3 semaines, on parle de « pleurs excessifs du nourrisson »

L’insomnie de l’adolescent correspond à des difficultés d’endormissements, des réveils nocturnes et/ou un éveil matinal trop précoce ayant des répercussions sur la qualité de vie du patient (fatigue, difficultés de concentration, trouble de l’humeur, somnolence…).

Difficultés d’endormissement et/ou des réveils nocturnes fréquents, un réveil trop précoce plus de 3 fois par semaine depuis plus de 3 mois. Trouble le plus fréquent dans cette tranche d'âge. 

Insomnie symptomatique d'une pathologie organique, d'un trouble psychologique ou du neuro-développement.

 Les pleurs constituent l'un des principaux moyen d'expression du nourrisson âgé de 2 à 6 mois. Il n'est pas aisé de différencier les pleurs qui expriment un besoin ou une pathologie des pleurs d'endormissement ou de veille agitée. Cet article évoque l'état des connaissances actuelles concernant les pleurs physiologiques du nourrisson.                                                                                                                                                                                                                                           

L’épilepsie nocturne est un diagnostic différentiel de nombreuses pathologies du sommeil, notamment les parasomnies (éveils confusionnels, somnambulisme et terreurs nocturnes) ou les rythmies du sommeil. Les signes d’alertes devant faire évoquer cette pathologie sont : une régression ou une anomalie du développement psychomoteur, une somnolence diurne excessive malgré un temps de sommeil adapté à l’âge, la présence d’épisodes stéréotypés répétés très courts (< 2 minutes) qui surviennent plusieurs fois par nuit, à une fréquence > 1 fois par semaine                                                  

Plainte de somnolence excessive et/ou de durée de sommeil allongée.